Après près de deux semaines de travaux, les couvreurs ont enlevé l’ensemble périphérique des ardoises. Reste la couverture intérieure, puisque les versants non visibles comptent autant de surfaces d’ardoises avec les chiens assis pour éclairer les pièces sous combles et la verrière du grand salon. Déjà un premier constat montre une couverture usagée reposant sur des bois (chevrons et membrons en sapin) largement remplacés au XIXe siècle. La charpente apparaît à travers les lattis et laisse voir de nombreuses pièces de bois en chêne abîmées par des incendies !