Comme pour la restauration du corps central du château, les pavillons d’entrée, même s’ils sont plus modestes, bénéficient des mêmes diagnostics et précautions à leur restauration. Malgré les études préalables réalisées par la maîtrise d’oeuvre, permettant de définir le projet de restauration et l’évaluation des coûts, l’approche physique, sur échafaudages et après découvertures n’empêchent quelquefois de mauvaises surprises ! Tel ne fut pas le cas pour le logis central. Pour les pavillons, les diagnostics préalables ont été confirmés dans cette phase cruciale de découverte du squelette architectural. Vient ensuite le temps des validations des échantillons des matériaux et des façons de pose, proposées par les entreprises qualifiées à l’architecte en chef des monuments historiques avant de lancer les travaux de restauration.